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Edito

L’Edito de la semaine

En ce mercredi 9 septembre, nous ne relayerons pas l’image du petit Aylan Shenu gisant sur le sable et exhibé à la une de nombreux journaux qui a su soulever des esprits révoltés contre la position stagnante des pays européens face à la situation syrienne. Nous ne parlerons pas du fait, qu’une image choc a su dénoncer ce que le monde entier sait déjà depuis bien trop longtemps. Ni du fait que la mort à la une est une limite que nous ne devrions plus devoir atteindre pour faire remuer les actions de nos gouvernements. Nous ne parlerons pas du problème majeur qu’est l’immigration depuis la nuit des temps, fruit d’une haine alimentée par les Hommes entre les Hommes contre les Hommes. On pourrait croire à une action contre nature ! Fou non ? On croit rêver… Mais le cauchemar existe depuis que l’Homme existe. Il semblerait que le conflit soit son hobbie favoris. 

Heureusement, sa part d’obscurité renferme aussi une jolie couleur de merveilleux. Et c’est sans doute pour mieux la faire ressortir qu’il doit être capable du pire comme du meilleur…? Oui, on philosophe cette semaine ! 

Que voulez-vous ? On s’interroge, on se questionne, on s’ausculte le cerveau ! Les jours qui défilent nous mettent à l’épreuve de la pire problématique : Comment venir à bout de notre nature ? Parce que finalement, pour toutes les horreurs de la Terre, si on remonte à l’origine du problème, le résultat est toujours le même. 

Un seul choix reste à faire. Veut-on garder espoir ? 

Au We Love, on décide que oui 🙂 Parce qu’il faut dire, qu’il y a des Hommes qui en jettent et qui valent le coup d’exister ! Notamment pour défaire ce que des abrutis ont accompli (mais on ne va pas retourner le couteau dans la plaie, ok ok) mais aussi pour nous faire rêver et gouter au bonheur qui devrait être notre principale préoccupation finalement, non ? 

On ajouterait quand même qu’en cette saint Alain, un petit coup de gueule en hommage à Aylan (ce ne serait pas un dérivé de Alain en kabyle d’ailleurs, non ? bon, on l’aura tenté…), n’était pas de trop. Merde ! 

(et j’ai même renversé tout mon bureau. Voilà, na!)